"La technologie juridique est en vogue, n'est-ce pas ?
Récemment, un entrepreneur en série et investisseur prospère m'a dit : "la technologie juridique est en vogue". Je ne pourrais pas être plus d'accord, il y a un flux visible d'investissements et beaucoup d'intérêt pour le développement de la technologie dans le secteur juridique. Les grands cabinets d'avocats investissent dans leurs propres technologies de l'information, mais ils investissent aussi, voire acquièrent, des start-ups aux idées innovantes. Une tendance intéressante pour les développeurs de logiciels et les esprits créatifs ayant des idées perturbatrices.
Lorsque cette connaissance m'a dit : "la technologie juridique est en vogue", elle faisait sans aucun doute référence à l'engouement pour la technologie. Watson d'IBM et son application pour le "Ross" juridique sont rapidement mentionnés. Clickbait et peut-être même IBM eux-mêmes nous diront que les algorithmes prendront en charge certaines tâches de l'avocat et pourraient même les remplacer à plus long terme. Cela reste à voir, car cela n'a pratiquement aucun effet sur les activités quotidiennes des avocats.
Legal Tech et Office 2010 - comment les avocats rattrapent leur retard
Les cabinets d'avocats ont longtemps été à la traîne lorsqu'il s'agit d'améliorer leur informatique. C'est l'un des rares secteurs où l'on utilise encore beaucoup de papier. Trop de cabinets d'avocats, en particulier les petits, utilisent encore Office 2010 comme plateforme de productivité. Ces entreprises n'utiliseront pas de technologie perturbatrice comme l'IA dans un avenir proche. Toutefois, ils peuvent facilement tirer parti de la mise à niveau de leurs systèmes existants vers des plateformes plus récentes et des outils supplémentaires.
Le quotidien : les 5 piliers informatiques d'un cabinet d'avocats moderne
On peut distinguer deux grands composants de l'informatique d'un cabinet d'avocats utilisés quotidiennement :
- Création de documents
- Assemblage de documents
- Gestion des contacts (CM)
- Gestion de l'information (DMS)
- Gestion de la pratique (grand livre)
Les avocats sont des travailleurs du savoir. Ils ont certains processus dans l'entreprise où ils apportent une valeur ajoutée en ajoutant des connaissances, souvent sous forme de contenu. En termes simples, du point de vue informatique, nous considérons chaque avocat comme une "usine à contenu", qui produit continuellement des documents. Et ce processus de création de documents et de courriers électroniques permet de gagner beaucoup en efficacité. Un cas fortement soutenu par le Legal Tech Assesment de Casey Flaherty.
Il y a beaucoup à gagner à choisir le bon logiciel
Bien que l'on parle beaucoup de l'impact de technologies perturbatrices comme l'intelligence artificielle, la plupart des avocats s'efforcent encore d'améliorer leurs anciennes méthodes.
Un petit cabinet comptant trois avocats et quatre employés de soutien peut facilement dépenser un total de 30 000 euros par an en logiciels et en hébergement. C'est beaucoup d'argent et cela laisse peu de place pour d'autres investissements. Cependant, il y a de bonnes nouvelles.
Premières étapes - Normalisation
L'un des piliers mentionnés précédemment est la création et l'assemblage de documents. C'est là que de nombreux travailleurs intellectuels passent leur temps et que l'on peut encore gagner beaucoup en efficacité. Office 365 de Microsoft s'est avéré être une plateforme de productivité très valable et, avec quelques ajouts, il s'avère être un excellent outil pour votre entreprise. Dans notre prochain article, nous verrons plus en détail comment vous et votre entreprise pouvez tirer profit d'Office 365 et améliorer la plateforme avec des applications 365.
Documentaal est une entreprise néerlandaise spécialisée dans la réalisation de travaux dans Office 365. Reinoud Wouters est associé et discute avec Barry van Varik des promesses de Legal Tech.
